Soirée électro-orientale gratuite : la transe made in Maghreb débarque à Oberkampf

Envie d’un aller simple pour le Maghreb, le Moyen-Orient et les Balkans, sans bouger de Paris ? Le vendredi 18 avril 2025, L’Alimentation Générale vous embarque pour une nuit de transe, de basses puissantes et de traditions revisitées. Entre sons gnawa, techno orientale et vibes électro métissées, la soirée Klub Habibeats promet de faire vibrer vos chakras... et vos baskets.

Un melting-pot musical qui envoie

C’est un festival miniature, concentré sur 4 heures de live. Au menu : Isam Elias, moitié du duo Zenobia (aka les boss de l’electro palestinienne), balance un set hybride entre claviers classiques, beats afro-orientaux et synthés qui claquent.

Puis Pulsation Gnawa débarque avec ses guembris, ses krakebs et surtout une énergie qui donne envie de léviter. On est sur une vibe très transe marocaine, entre rituels ancestraux et groove qui chatouille les hanches. Oui, on parle bien d’un truc spirituel ET dansant.

Et pour couronner le tout : IZADORÄ, un ovni sonore entre Global Bass et techno orientale. Elle joue de l’accordéon, des flûtes natives, elle chante, elle danse, elle sort des masques de son sac. La vraie pépite ici, c’est son univers total : un genre de mille-feuille musical et visuel, hyper immersif. 

Un lieu, une ambiance

L’Alimentation Générale, c’est une sorte de QG underground à Oberkampf, connu pour ses soirées engagées, ses line-ups de niche, et son ambiance qui sent bon la bière artisanale et la diversité musicale. Ici, pas de chichi, que du bon son, des gens cool, et une scène qui n’a pas peur de brouiller les frontières. Et le meilleur dans tout ça ? C’est gratuit.   

Informations pratiques

• Lieu : L’Alimentation Générale – 64 Rue Jean-Pierre Timbaud, 75011 Paris
• Date(s) et horaires : Vendredi 18 avril 2025 de 20h à 00h
• Prix : Gratuit

Vous ne reviendrez peut-être pas avec un accent oriental, mais avec une playlist remplie de perles rares et une bonne dose de good vibes. L’ambiance ? Cosmopolite, généreuse et sans prétention. Le petit bonus ? Ça dure juste assez pour rentrer avant que le dernier métro disparaisse.