Festival MusicOparc 2012 : concert gratuit de soul et R&B avec NICOLE SLACK JONES, BERNARD ALLISON et KAT

  Samedi 14 juillet 2012 à 21h
Festival MusicOparc 2012 : concert gratuit de soul et R&B avec NICOLE SLACK JONES, BERNARD ALLISON et KAT

Toujours gratuit, toujours dans le bucolique parc Decesari, la 8e édition du festival a la saveur des musiques épicées. 

Au programme :

- 1ère partie  : KAT 
Cette chanteuse française éprise de blues-rock a d’abord fait ses classes avec quelques vocalistes de renom, Sara Lazarus notamment, avant de partir se confronter aux publics australien et américain. Elle se fait remarquer par Lucky Peterson qui la fait participer à certains de ses concerts, puis monte son groupe et travaille avec le trompettiste-chanteur Boney Fields, souvent vu avec les Allison père et fils. 

- NICOLE SLACK JONES et BERNARD ALLISON (soul et R&B) 

. Nicole Slack Jones 
On ne choisit pas sa famille, mais le destin se révèle parfois providence quand on est la fille d’un prêcheur dont la bible était le gospel et de l’une des chanteuses de l’International choir of the Churches of God in Christ. Née à la Nouvelle-Orléans, Nicole Slack grandit donc en pensant sans doute que la vie est indissociable de la spiritualité et de la soul music. Devenue naturellement chanteuse et influencée par Aretha Franklin, James Brown ou Michael Jackson, sa voix insondablement profonde la propulse aux côtés de Beyoncé, Stevie Wonder, Percy Sledge et autres Aloe Blacc. Groove n’grâce, la soul sister bénie des grands sort un premier album solo en 2008 et figure parmi les méga stars à la 1re Journée international du jazz de l’Unesco en 2012. Une juste reconnaissance pour celle qu’on considère parfois comme la fille spirituelle d’Aretha Franklin, robe de soirée rouge fluo comprise. 

. Bernard Allison 
On ne choisit pas sa famille (bis), mais le destin se révèle parfois providence quand on est le fils d’un chanteur guitariste de blues et né à Chicago, la ville de Muddy Waters ou d’Elmore James. Bernard Allison, sous l’influence de son père le célèbre Luther, a grandit en pensant sans doute que les seuls vrais rois s’appelaient B.B. (King), Albert (id.), Freddie (id.). A 13 ans, il fait sa première apparition discographique, à 18 il monte sur la scène du Chicago Blues Festival, rejoint Koko Taylor, puis croise les routes de Stevie Ray Vaughan et Johnny Winter. L’enfant de la balle retrouve son père en Europe à la fin des années 80 et y débute une carrière solo avec un premier album au titre manifeste : The Next Generation. Un coup de jeune bienvenu à la musique issue du delta du Mississipi qu’il développe alors rapidement du côté funk et rock. Electrique et éclectique, Bernard Allison allie aujourd’hui ardemment sur scène origines et original. 


Texte extrait du programme MusicOparc